JOURNAL DE BORD DES TRANSMUSICALES : SAMEDI SOIR

Les rencontres des Transmusicales ont démarré mercredi et se clôtureront dimanche. Tous les jours retrouvez nos déambulations de la veille.

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20H45, on monte en voiture direction le dernier soir des Transmusicales !

21H45, je rejoins Bre.tone pour débuter ma première interview. On parle, on rigole et on fait quelques photos.

21h55, il est encore l’heure de découvrir Joey Quinones & Thee Sineers, première impression ils sont beaucoup sur scène, 11 musiciens et musiciennes ! La soul est bien représenté !

22H30, ça tape dans le hall 9, intrigué, je suis la foule qui y entre. Sur scène, un batteur sans batterie façonnant les sons avec ses baguettes. Darzack est en place !

22h40, les rythmes asiatiques de Yīn Yīn envoûte le Hall 3, ils nous transporte dans leur style 60-70. Les Hollandais sont signés sur le label de Altin Gün, on comprend vite pourquoi.

23H10, ouverture de la Greenroom ! Tout débute avec Ozadya, un set house / electro-bass te donnant envie de déhanché le bassin.

00H, retour vers le hall 9 pour découvrir l’electro tribale au coté de Pletnev qui nous offre un spectacle magnifique, le hall est chargé, la foule ne peut plus s’arrêter de danser.

00h40, si le patois savoyard ne vous parle pas, c’est normal, mais San Salvador sait nous initier à leurs chants.

1H, impossible de circuler, le groupe le plus attendu se place derrière les platines du hall 9. Acid Arab démarre son live qui était à la hauteur de mes attentes, ils m’ont transporté à travers les différents pays orientaux.

1H50, suprise ! La Greenroom est vide, peu étonnant Acid Arab est toujours en live, cependant j’entends un beat qui me donne envie de danser, Coco Em nous offre un très joli set.

1H45, RDV avec Songø, la belle sud-africaine balance son afro-pop accompagné de Petit-Piment et Yoann Minkoff, le groupe assure vraiment le show !

2H30, les basses vont casser les murs du hall 9, c’est Victor Ruiz qui balance sa techno tout droit venu du brésil.

3H40, Alyona Alyona s’impose sur scène avec un premier morceau qui met le public d’accord. Malgré ses textes en ukrainiens, tu veux chanter et tu essayer, sa présence scénique est inoubliable.

4H10, retour à la Greenroom où le DJ niçois Billx épuise la foule tant il nous fait sauter, danser, crier. Une ambiance exceptionnel en raccord avec un set époustouflant.

5H, je rejoins Bre.tone dans le hall 8 pour une fermeture exceptionnelle. Le hall est blindé, le public n’est pas encore rassasié. Le duo de DJ fait le show, puis la scène se remplit de festivalier, chantant, dansant, un très beau spectacle à la hauteur du show qu’ils nous offrent.

6h20, direction la navette et on rentre à la maison.

Merci les Trans’ et à l’année prochaine !